Questions fréquentes sur le protocole Alamer

Vous trouverez ici des réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le protocole Alamer.

 

1. Quand réaliser ce protocole ?

Vous pouvez participer à ce protocole et nous transmettre vos données tout au long de l’année. La participation sera cependant plus agréable à partir du mois d’avril par une journée ensoleillée !

 

2. Pourquoi utiliser un transect et des quadrats ?

En proposant à tous les participants de réaliser les observations dans un transect de 25 mètres et des quadrats de 1 mètre carré, il sera possible de faire des comparaisons de ces observations (par exemple le nombre moyen d’espèces identifiées dans les quadrats), peu importe par qui elles ont été réalisées.

 

3. Pourquoi préconiser d’échantillonner 5 quadrats par transects ?

Dans les phases de test du protocole, ce sont 10 quadrats par plage qui ont été échantillonnés. Il s’est avéré qu’à partir du 5ème quadrat, ce sont près de 90% du nombre total d’espèces qui y étaient observées. Dans l’optique de trouver le bon compromis entre le temps de participation et le pourcentage d’espèces observables, l’échantillonnage de 5 quadrats représentait le meilleur rapport. Bien sûr, pour que ce chiffre ne soit pas bloquant si jamais vous avez des petits effectifs dans votre classe, vous pouvez choisir de réaliser moins de 5 quadrats par transect (5 quadrats étant l’idéal, mais pas la règle absolue). Ils seront traités avec tout autant d’importance !

 

4. Pourquoi utiliser la clé d’identification des algues ?

On estime à environ 1500 le nombre de macroalgues [= algues visibles à l’œil nu] présentes dans les mers d’Europe. Dans un souci de simplification du protocole, il n’était pas possible de proposer toutes ces es à déterminer d’autant plus que certaines nécessitent une observation microscopique pour être identifiées. Nous avons donc sélectionné 40 espèces ou groupes d’espèces intéressantes à étudier dans le contexte de changements globaux (climatique et anthropique). Certaines de ces espèces sont communes sur tout le l de la Mer du Nord, de la Manche et de l’Atlantique, d’autres ont des zones de répartition géographiques parfois limitées mais bien définies, alors que d’autres sont arrivées plus récemment sur nos côtes et vont potentiellement être amenées à se déployer davantage sur le littoral.