Étudiante en ingénierie agronome spécialisée en Data Science, Amélie Robinet a consacré son stage de fin de cycle aux effets de l’urbanisation sur les communautés de plantes. Pour cela, elle s’est appuyée sur les données récoltées depuis 2013 par les scolaires et le grand public dans le cadre du protocole Sauvages de ma rue. L’abondance de ces données permet en effet de dégager (voire de quantifier, quand c’est possible !) de bons indicateurs expliquant la présence ou l’absence de biodiversité dans un milieu, afin de proposer des aménagements adaptés ou encore d’engager des actions de prévention proportionnées.
Cette année le nombre de classes participantes a fortement augmenté par rapport aux années précédentes. Ainsi, pour la première année, plus de 10 000 élèves ont participé à notre dispositif contribuant directement à la recherche sur la biodiversité en France ! Bravo et merci à tous, nous vous donnons rendez-vous à la rentrée prochaine pour de nouvelles observations !
Ce bilan est consultable directement en ligne en suivant ce lien.